16 juin 2020

Dispositions Covid-19

(Mise à jour : 27 juillet juin 2020)

Dès le mois de juin, l’épidémie pouvait être considérée comme terminée, du moins à l’aune des critères selon lesquels la Faculté définit habituellement une épidémie. Et les chiffres de juillet confortent notre appréciation de juin, puisque les chiffres d’hospitalisation et de décès sont en constante baisse, et tombés à un étiage extrêmement bas. Certes, de nouveaux cas de contamination sont détectés, mais cette augmentation, rapportée à la diminution des cas d’hospitalisation, ne fait que mesurer l’amélioration du taux de détection, ou la diminution de létalité du virus. Dans les deux cas, de bonnes nouvelles.

Comme toutes les épidémies, elle a débuté, atteint un pic, puis décru. Et causé, hélas, une surmortalité de presque 25.000 personnes, entre le 15 mars et le 30 avril. Bien qu’elle se poursuive dans d’autres pays du monde, son impact sur la morbidité française n’est plus détectable depuis le 1° mai : ce virus ne représente plus une menace sérieuse sur la santé publique.

Seconde vague ? Si elle survient, nous remettrons en place des mesures de protection adaptées, mais aucun indice probant ne laisse croire actuellement à sa survenance (tandis que le passage en saisonnalité demeure, lui, un risque certain).

Aucune personne dans nos équipes n’a été atteinte, ce dont nous nous réjouissons.

Depuis fin juin, nous avons donc mis fin aux dispositions prises pendant les débuts de la crise, dont le rapport bénéfice/risque était devenu inadapté, et très vite renoué avec la joie de vivre. Il faut dire que le Champagne, la plus agréable des solutions hydro-alcoolique, est un merveilleux allié pour cela !

Notre service, un temps perturbé par les difficultés logistiques, est rétabli : nous assurons de nouveau les expéditions depuis Étoges, les mises à dispositions à notre bureau de Paris, et les livraisons express à Paris intra-muros, comme dans « le monde d’avant », et ce jusqu’à l’apparition de la Covid-20, que nous n’espérons pas voir arriver trop tôt dans « le monde d’après » !

 

Les ventes de champagne, c’est le baromètre du bonheur des Français !

 

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Ce que nous en disons en octobre 2020.

Ce que nous en disions en juin 2020.